Après avoir battu tous les records avec "Thriller", Michael Jackson décide de diversifier ses investissements financiers. En 1985, une partie du catalogue musical des Beatles est à vendre. MJ saute sur l'occasion et il débourse seulement 47,5 millions pour un catalogue estimé aujourd'hui à plus d'un milliard de dollars. Ce rachat à jeter un léger froid entre Paul McCartney et Michael Jackson . En effet, McCartney ne peut plus par exemple chanter "Hey Jude" en public sans devoir reverser de l'argent au détenteur des droits de sa chanson.
L'un des points faibles de Michael Jackson résidait dans sa folie dépensière. Des sorties d'argent importantes et des rentrées de liquidités très faibles, telle était la difficile situation dans laquelle se trouvait le roi de la pop et ses gestionnaires de fortune. En 1991, MJ avait déjà dû vendre la moitié du catalogue acquis 6 ans plus tôt. C'est Sony Music qui avait acheté la moitié de ce précieux catalogue qui contient également quelques chansons d'Elvis. Plusieurs rumeurs affirment que d'autres parties du catalogue des Beatles appartenant à Michael Jackson ont été vendues. Difficile de connaître la vérité, mais ce qui est certain c'est que ce catalogue avait permis à Jackson d'obtenir un prêt de 200 millions de dollars pour faire face à des difficultés de trésorerie.
L'un des points faibles de Michael Jackson résidait dans sa folie dépensière. Des sorties d'argent importantes et des rentrées de liquidités très faibles, telle était la difficile situation dans laquelle se trouvait le roi de la pop et ses gestionnaires de fortune. En 1991, MJ avait déjà dû vendre la moitié du catalogue acquis 6 ans plus tôt. C'est Sony Music qui avait acheté la moitié de ce précieux catalogue qui contient également quelques chansons d'Elvis. Plusieurs rumeurs affirment que d'autres parties du catalogue des Beatles appartenant à Michael Jackson ont été vendues. Difficile de connaître la vérité, mais ce qui est certain c'est que ce catalogue avait permis à Jackson d'obtenir un prêt de 200 millions de dollars pour faire face à des difficultés de trésorerie.