Avec le film "Rattle and Hum", U2 affiche le quotidien de la vie du groupe en tournée. Le film présente en noir et blanc une grande partie des deux concerts les plus "mythiques" qu'ait pu donner le groupe lors de la tournée Joshua Tree. A savoir ceux de Denver, les 7 et 8 novembre 1987. Puis le long métrage se colorise avec la performance donnée dans l'Arizona, où U2 interprète des morceaux rarement joués sur scène. La qualité du tournage et le professionnalisme du réalisateur Phil Joanou font que ce film musical est véritablement une "pépite" pour tous ceux qui aiment la musique pop. On découvre ou redécouvre des chansons que l'on pouvait trouver comme "insipides" mais qui se révèlent bouleversantes d'émotion.
Tout au long de ce film qui allie à la fois le côté des répétitions et des concerts au côté documentaire, le spectateur se trouve littéralement transporté dans l'univers U2.
Pour tous les fans du groupe, cet hommage au groupe irlandais est représentatif d'une époque faste. Une époque où ces irlandais de génie avaient une certaine spontanéité loin de la machine commerciale ultra huilée que certains dépeignent aujourd'hui. Dans "Rattle and Hum", on peut voir un Bono qui n'hésite pas à crier avec ses tripes un puissant "Fuck the revolution" en pleine interprétation du titre "Bloody bloody sunday".
Malgré un contenu musical de qualité, ce film "Rattle and Hum" n'a pas connu le succès commercial espéré. Il a même subi l'humiliation d'être retiré de la programmation des salles de cinéma américaines avant l'heure. L' échec commercial de film "Rattle and Hum" contraste avec le succès qu'a rencontré l'album du même nom. En effet, l'opus "Rattle and Hum" s'est vendu quant à lui à plus de 14 millions d'exemplaires.
Tout au long de ce film qui allie à la fois le côté des répétitions et des concerts au côté documentaire, le spectateur se trouve littéralement transporté dans l'univers U2.
Pour tous les fans du groupe, cet hommage au groupe irlandais est représentatif d'une époque faste. Une époque où ces irlandais de génie avaient une certaine spontanéité loin de la machine commerciale ultra huilée que certains dépeignent aujourd'hui. Dans "Rattle and Hum", on peut voir un Bono qui n'hésite pas à crier avec ses tripes un puissant "Fuck the revolution" en pleine interprétation du titre "Bloody bloody sunday".
Malgré un contenu musical de qualité, ce film "Rattle and Hum" n'a pas connu le succès commercial espéré. Il a même subi l'humiliation d'être retiré de la programmation des salles de cinéma américaines avant l'heure. L' échec commercial de film "Rattle and Hum" contraste avec le succès qu'a rencontré l'album du même nom. En effet, l'opus "Rattle and Hum" s'est vendu quant à lui à plus de 14 millions d'exemplaires.