Didier Barbelivien : Ses plus belles chansons écrites pour d’autres

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Didier Barbelivien a écrits de grandes chansons pour bon nombre d’artistes français, de Dalida à Michel Sardou. Focus sur les plus belles d'entre elles.

Gérard Lenorman, « Michèle » (1976)

En 1976, Didier Barbelivien signe « Michèle », le plus grand tube du chanteur romantique et nostalgique Gérard Lenorman. Le morceau est extrait de l’album « Drôles de chansons ».

Demis Roussos, « Loin des yeux, loin du cœur » (1978)

En 1978, c’est le chanteur grec qui s’offre les services du célèbre parolier français. Didier Barbelivien lui compose alors le tube « Loin des yeux, loin du cœur », devenu depuis un classique de la chanson française.

Dalida, « Parce que je ne t’aime plus » (1986)

Didier Barbelivien compose plusieurs morceaux sur le dernier album de la chanteuse Dalida, « Le visage de l’amour », sorti en 1986. Parmi elles, l’on trouve « Parce que je ne t’aime plus » que l’artiste sortira en 45 tours, mais aussi « Reviens-moi ».

Patricia Kaas, « Mademoiselle chante le blues » (1987)

Patricia Kaas doit son premier succès public à Didier Barbelivien avec « Mademoiselle chante le blues ». En 1988, son premier album « Mademoiselle chante… » sort. Toutes les chansons de l’opus sont composées par Didier Barbelivien, excepté une. C’est également à lui que l’on doit le tube « Mon mec à moi ». Pour l’anecdote, Didier Barbelivien reprendra à son compte ses plus belles compositions pour d’autres, à travers l’album « Ateliers d’artistes » paru en 2009, et notamment « Mademoiselle chante le blues ».

Michel Sardou, « La rivière de notre enfance » (2004)

Didier Barbelivien signe en 2004, l’un des plus beaux duos de Michel Sardou, « La rivière de notre enfance », qu’il chante aux côtés de Garou. Le tube apparaît sur l’album « Du plaisir » de Michel Sardou, paru lui aussi en 2004. Ce morceau confirme que Michel Sardou fait partie de ces artistes qui portent le même prénom, Michel, et sont des monstres sacrés de la chanson française, comme Michel Polnareff ou encore, Michel Berger.