« Savoir aimer » (1997)
Ce tube est issu de l’album « Savoir aimer », sorti en 1997. Pour le premier extrait éponyme, écrit par Lionel Florence et composé par Pascal Obispo, Florent Pagny dévoile un clip audacieux et poétique, en noir et blanc, dans lequel il interprète les paroles de la chanson en langage des signes.
« Chanter » (1997)
Pour le second single de son album « Savoir aimer », Florent Pagny choisit « Chanter ». Pour illustrer ce très beau morceau, l’un des plus grands de sa carrière, l’artiste propose un clip coloré où il apparaît sous la forme du sujet d’une toile qui s’anime et prend peu à peu vie. Ces plans sont entrecoupés de scènes où l’on voit un artiste peintre, sûrement l’auteur du tableau, créer dans son atelier.
« Châtelet-les-Halles » (2000)
En 2000, Florent Pagny revient avec « Châtelet-les-Halles », un single emblématique de sa carrière, issu de l’album du même nom. Dans cette chanson mélancolique, il évoque la difficulté de la vie parisienne et son quotidien, notamment le métro qu’il compare à une « station balnéaire » pour nombre d’utilisateurs. En déambulant dans les couloirs de la station, le chanteur tombe sur des affiches d’îles paradisiaques qui semblent l’appeler. Il finit par casser un mur et de l’eau s’en échappe, envahissant les couloirs et les quais juste avant qu’il ne quitte les lieux en courant.
« Ma liberté de penser » (2003)
Ce tube est issu de l’album « Ailleurs land », paru dans les bacs en 2003. Sur ce morceau, écrit une nouvelle fois par Lionel Florence, le chanteur évoque tout ce que le fisc peut prendre à une personne… sauf sa liberté de penser. Dans le clip qui l’accompagne, on découvre un agent des impôts aidé de toute une armée de déménageurs habillés en orange, qui vide les objets de la maison du chanteur dans des camions de déménageurs. Florent Pagny assiste au spectacle, impassible et provocateur.
« Les murs porteurs » (2013)
Issu de l’album « Vieillir avec toi », le morceau « Les murs porteurs » est une belle ballade où Florent Pagny dévoile une nouvelle fois sa magnifique voix. Pour la vidéo, le chanteur a fait appel au réalisateur Karim Ouaret qui a tourné avec un drone dans les ruines de Cimiez, à Nice. Un décor grandiose qui colle parfaitement au thème de la chanson.