« Ce n’est rien » (1971)
Julien Clerc a déjà fait un Olympia en vedette en 1971, et tout le monde attend ses prochains tubes. C’est alors que sort l’album « Niagara », sur lequel figure la chanson « Ce n’est rien », composée et interprétée par Julien Clerc, sur des paroles d’Étienne Roda-Gil. Il s’agit ici d’un tube d’un nouveau genre, un texte dont on ne comprend pas forcément toujours le sens mais dont la poésie et l’entrain suscitent l’engouement du public. Ce tube va permettre à Julien Clerc de faire un deuxième Olympia en 1972 et devient le symbole d’une belle époque où le chanteur enchaîne les succès avec, par exemple, « Si on chantait » (1972).
« Ma préférence » (1978)
Julien Clerc frappe un grand coup avec « Ma préférence », premier single de son album « Jaloux », sorti en 1978. Celle qui deviendra immédiatement un tube a été écrite par le futur Académicien Jean-Loup Dabadie. Sans que cela n’ait jamais été confirmé officiellement, il est souvent mentionné que la chanson serait un hommage à la relation amoureuse que le chanteur entretenait à l’époque avec l’actrice Miou-Miou. Le chanteur a souvent interprété des chansons dédiées à ses amours, qu’il s’agisse de « Souffrir pour toi n’est pas souffrir » (1975), sortie suite à sa séparation d’avec France Gall, ou encore plus récemment de « Entre elle et moi » (2016) destinée à sa femme Hélène.
« Femmes, je vous aime » (1982)
Julien Clerc sort son douzième album studio « Femmes, indiscrétion, blasphème », en 1982. Y figure en bonne place le tube composé par le chanteur et à nouveau écrit par Jean-Loup Dabadie, « Femmes, je vous aime ». Réticent à interpréter cette chanson par peur d’être qualifié de Don Juan, Julien Clerc ne la mettra qu’à contrecœur sur son album. Ce n’est que lors des tests en studio, puis des premiers concerts, que l’artiste réalise son succès immédiat et populaire.
« Mélissa » (1984)
Julien Clerc enchaîne les tubes en ce début des années 1980. « Mélissa » est une chanson sortie sur « Aime-moi », le treizième album studio de Julien Clerc, en 1984. Dès ses débuts, le morceau devient un tube. Julien Clerc relève l’année suivante le défi de se produire à Bercy, la plus grande de toutes les salles, pendant une dizaine de soirs, devenant le premier chanteur français à s’y être produit.
« Fais-moi une place » (1990)
Julien Clerc compose et interprète « Fais-moi une place », parue en 1990 sur l’album éponyme. Le chanteur trouve dans cet opus une nouvelle inspiration. Il renoue avec les mélodies sophistiquées et les textes d’auteurs signés par Jean-Claude Vannier, David Mc Neil, Jean-Louis Murat, Thierry Séchan, Maurice Vallet ou, dans le cas du morceau titre, Françoise Hardy.