L'affront devant le tout Hollywood... Marlon Brando refuse l'Oscar du meilleur acteur qui lui est décerné pour le " Parrain " de Francis Ford Coppola en 1973.
C'est une jeune indienne Apache qui s'exprime en son nom lors de la cérémonie pour dénoncer le traitement réservé aux Indiens sur grands et petits écrans et sensibiliser sur le sort des Sioux dans le Dakota du Sud.
L'ère de la provocation souffle sur le 7éme art
Dans le même temps lors du festival de Cannes sur la Croisette, Marco Ferreri choque avec " La grande Bouffe ".
Le film, qui réunit Michel Piccoli , Philippe Noiret , Marcello Mastroianni et Ugo Tognazzi pour un banquet mortel, ridiculise la tradition culinaire française. Pour autant, le long métrage reçoit le prix de la Critique Internationale ex-aequo avec " La maman et la putain " de Jean Eustache, qui ne manque pas non plus de provoquer un certain courroux.
Prix et sagas
En 1976, Jean Gabin déclare " ouverte la [première] cérémonie de remise des "César" du cinéma français".
C'est Georges Cravenne qui a l'idée de cette cérémonie à l'instar des Oscars. Romy Schneider est couronnée meilleure actrice pour " L'important c'est d'aimer " d'Andrzej Zulawski et Robert Enrico est récompensé pour " Le vieux fusil ".
Maître Yoda mène sa guerre contre le côté obscur
Dark Vador montre son côté obscur et Luke Skywalker joue de son sabre dans " La guerre des étoiles " qui révolutionne les effets spéciaux en 1977. La fiction de George Lucas , suivie de 5 autres épisodes, sera sacrée à 6 reprises aux Oscars.
L'année suivante, c'est une autre saga qui débute, celle des " Bronzés ", adaptée de la pièce écrite par le Splendid " Amour, coquillages et crustacés ".
Les aventures de Popeye, Gigi, Bernard et Jérôme sont un succès ; si bien qu'un an plus tard les " Bronzés font du ski " et que 27 ans après " Les Bronzés [sont toujours] amis pour la vie "
C'est une jeune indienne Apache qui s'exprime en son nom lors de la cérémonie pour dénoncer le traitement réservé aux Indiens sur grands et petits écrans et sensibiliser sur le sort des Sioux dans le Dakota du Sud.
L'ère de la provocation souffle sur le 7éme art
Dans le même temps lors du festival de Cannes sur la Croisette, Marco Ferreri choque avec " La grande Bouffe ".
Le film, qui réunit Michel Piccoli , Philippe Noiret , Marcello Mastroianni et Ugo Tognazzi pour un banquet mortel, ridiculise la tradition culinaire française. Pour autant, le long métrage reçoit le prix de la Critique Internationale ex-aequo avec " La maman et la putain " de Jean Eustache, qui ne manque pas non plus de provoquer un certain courroux.
Prix et sagas
En 1976, Jean Gabin déclare " ouverte la [première] cérémonie de remise des "César" du cinéma français".
C'est Georges Cravenne qui a l'idée de cette cérémonie à l'instar des Oscars. Romy Schneider est couronnée meilleure actrice pour " L'important c'est d'aimer " d'Andrzej Zulawski et Robert Enrico est récompensé pour " Le vieux fusil ".
Maître Yoda mène sa guerre contre le côté obscur
Dark Vador montre son côté obscur et Luke Skywalker joue de son sabre dans " La guerre des étoiles " qui révolutionne les effets spéciaux en 1977. La fiction de George Lucas , suivie de 5 autres épisodes, sera sacrée à 6 reprises aux Oscars.
L'année suivante, c'est une autre saga qui débute, celle des " Bronzés ", adaptée de la pièce écrite par le Splendid " Amour, coquillages et crustacés ".
Les aventures de Popeye, Gigi, Bernard et Jérôme sont un succès ; si bien qu'un an plus tard les " Bronzés font du ski " et que 27 ans après " Les Bronzés [sont toujours] amis pour la vie "