"Objet témoignant du passé auquel on attache moralement le plus grand prix ". Cette définition du mot "relique" nous permet de poser un terme sur les objets ayant appartenus à Michael Jackson, et justifie en quelques sortes leurs prix.
Ce vendredi 10 novembre, une grande vente aux enchères a permis à d’heureux acheteurs de repartir avec des objets ayant appartenu au Roi de la Pop, mais également des pièces de la collection d’Amy Winehouse ou George Michael.
Michael Jackson : une veste vendue 285.000 euros
En 1984, Michael Jackson est encore dans l’euphorie de la sortie de son album "Thriller" sorti deux ans auparavant, qui aura d’ailleurs droit à un documentaire sur sa conception dont la sortie est éminente. Star mondiale et universelle, une célèbre marque de boisson gazeuse réquisitionne alors le roi de la musique pour un spot publicitaire.
Cette pub est devenue culte. Sa chorégraphie d’abord, mettant en scène des enfants qui dansent sur un remix de "Billie Jean" version "Pepsi", mais aussi pour une autre raison. C’est en effet durant le tournage de ce clip qu’un projecteur de lumière est tombé sur le chanteur, lui brulant les cheveux au passage.
La veste qu’il portait lors de ce spot publicitaire a donc été proposée aux enchères à Londres, vendredi 10 novembre, et s’est vendue au prix exorbitant de 250.000 livres sterling, soit 285.000 euros. Un prix pharaonique déboursé par un heureux acheteur qui est reparti avec un morceau d’histoire.
D’autres objets iconiques
Parmi les autres objets proposés lors de cette vente, se trouvait la fameuse veste "La Rocka" portée par George Michael dans le clip du morceau "I Knew You Were Waiting (For Me)", en collaboration avec Aretha Franklin. Le vêtement a été vendu aux alentours de 106.000 euros.
S’est également vendu un postiche porté par Amy Winehouse à l’occasion du clip de "You Know I’m No Good" pour la somme de 20.000 euros.
La veste qu’il portait lors de ce spot publicitaire a donc été proposée aux enchères à Londres, vendredi 10 novembre, et s’est vendue au prix exorbitant de 250.000 livres sterling, soit 285.000 euros. Un prix pharaonique déboursé par un heureux acheteur qui est reparti avec un morceau d’histoire.