Un malentendu... La carrière et le succès de Nino Ferrer semblent, en effet, être le fruit d'un mariage forcé entre l'artiste, son public et le milieu musical.
Les titres comme "Mirza", "Les cornichons" et "Le télefon", qui sont aujourd'hui encore sur toutes les lèvres, ont masqué une démarche musicale plus profonde du chanteur.
Resté en marge du sérail, il n'a jamais véritablement accepté les concessions.
