Avec pour principales influences des sonorités sud-américaines, Chris Montez s’est initié à la musique dès son adolescence. C’est avec le titre « Let’s dance » qu’il connaît son premier succès en 1962 avant de se retirer de la scène quatre ans plus tard.
Des influences sud-américaines
Originaire de Los Angeles, Chris Montez grandit dans la ville de Hawthorne. Dès son enfance, il se prend de passion pour la culture sud-américaine et la musique de Richie Valens.
C’est ainsi qu’il commence tout naturellement à reprendre des chants traditionnels mexicains avec ses grands frères. Ces derniers lui apprennent notamment à jouer de la guitare, instrument qu’il ne quittera plus.
C’est en 1961 que Chris Montez est découvert par l’impresario Jim Lee. Il rejoint alors une maison de disque et signe le titre « Let’s dance » en 1962.
C’est un immense succès pour l’artiste avec plus d’un million de disques vendus. Le titre s’installe même en haut des classements anglais et américains !
Le deuxième single, « Some kinda fun », connaît le même enthousiasme et marque l’apogée de la carrière de l’interprète.
Come-back
Malgré une formidable notoriété, Chris Montez décide de s’éloigner du monde de la musique.
C’est seulement en 1966 que l’interprète signe le titre « Call me », qui marque le retour de l’artiste sur scène. Le morceau « The more I see you » lui permet également de se classer en troisième position dans les classements anglais en 1966.
Mais Chris Montez se retire de nouveau de la scène et ne sort qu’un album en espagnol, « Cartas de Amor » au milieu des années 1980.
Depuis, Chris Montez continue de faire de la scène à travers le monde, interprétant ses plus grands succès.