« La Parisienne » un des titres phares de la chanteuse des années 70, Marie-Paule Belle.
La jeune française a su au fil des années démontrer toute l’étendue de son talent aussi bien aux travers des ses albums que de ses récitals, moultes fois acclamés.
La jeune artiste côtoie de grands chanteurs, notamment Serge Lama etPatrick Juvet .
En 2008, L’interprète s’offre un nouveau récital à l’Olympia.
Les débuts de Marie-Paule Belle
Marie-Paule Belle naît le 25 janvier 1946 à Pont-Sainte-Maxence (France).
C’est avec sa mère, que la jeune fille entame son incursion musicale en apprenant à jouer du piano.
Sa carrière débute en 1969, par l’enregistrement d’un premier 45 tours, puis d’un second l’année suivante.
1973 est une grande année pour Marie-Paule Belle. En plus de sa participation à une émission télévisée de Philippe Bouvard, elle enregistre son tout premier 33 tours.
Un an plus tard, son l’album, « Café renard », reçoit le prix de la chanson française en Belgique.
La tournée avec Serge Lama
Sa notoriété lui permet de rencontrer Serge Lama qui l’emmène en tournée avec lui durant l’année 1975.
Toujours aussi productive, Marie-Paule Belle sort « La Parisienne »(1977), futur disque d’or sur lequel on retrouve des morceaux tels que : « Celui », « Les dessins d’enfants », « La Parisienne », ou encore « Diane ».
La chanson titre « La Parisienne » devient d’ailleurs un incontournable de sa carrière.
Le passage à l’Olympia
Toujours en 1977, les hits: « Quand nous serons amis », « Je veux pleurer comme Soraya », « La Brinvilliers » ou encore « Jersey Guernesey » voient le jour.
Après une première partie dePatrick Juvet à l’Olympia, (1978), elle monte deux ans plus tard, sur la scène d’un théâtre, pour y chanter plusieurs chansons dont : « Patins à roulettes », « J’ai pas trouvé le père » ou encore « Sonatine ou sonotone ».
De prestations acclamées
En 1982, juste après un disque de reprises, paraît le 33 tours : « Paris fais toi faire un lifting ». Cet opus lui permet d’utiliser la poésie contemporaine qui lui plait tant.
Après cette fulgurante ascension, quelques difficultés ralentissent sa carrière ; Marie-Paule Belle se fait alors plus discrète.
En 1985, après la sortie de l’opus « Sur un volcan », ses prestations sur scène font l’unanimité notamment grâce à : « Matin d’amour », « Les oiseaux bleus », « Dommage », ou encore « La machine jaune et noire ».
Un public fidèle
En 1987, elle participe à la pièce de théâtre « Si jamais je te pince » d’Eugène Labiche dans laquelle chante et joue.
Elle revient cependant à ses premiers amours avec le disque « L'heure D'été » qui sort en 1989.
L’album compte notamment une collaboration avec Isabelle Mayereau.
Après de nombreux projets allant de la chanson au théâtre, en 1994, Marie-Paule Belle, qui sort une compilation, reçoit des éloges avec son spectacle « Seule sur Scène ». Né de la rencontre avec Jean-Michel Joyeau et Michel Miletti, ce come-back confirme la fidélité de son public.
Le nouveau récital
Fin 1998, après l’une de ses tournées, Marie-Paule Belle effectue un nouveau récital Piano-Voix, extension de son tout nouvel album « Quand tu passes », (qui plus tard devient « Une autre lumière »). Le public acclame et les critiques sont dithyrambiques.
« Marie-Paule Belle chante Barbara »
La chanteuse renouvelle l’expérience et créé un spectacle dédié au répertoire de Barbara qui connaît un énorme succès aussi bien en France qu’à l’Etranger. Ce spectacle, qui récolte un triomphe donne naissance à l’album : « Marie-Paule Belle chante Barbara », (2001).
Après un tout nouveau spectacle en 2004, l’opus « Un pas de plus » sort la même année.
Quatre ans plus tard, Marie-Paule Belle décide de célébrer les 30 ans de son premier Olympia, avec un de ses habituels récitals.