Parmi les douze titres de l’opus, qui contient des extraits du projet « Smile », « Never learn not to love ».
Le morceau est signé par un certain Charles Manson, qui avant de devenir le tueur en série sanguinaire que nous connaissons, s’illustre dans la mouvance musicale du San Fransisco hippie.
« Never learn not to love » est finalement réécrit par Dennis Wilson, un proche, durant un temps, de Charles Manson, avec qui il va jusqu’à partager une colocation.
Moins violente que la version initiale, elle vaut au guitariste des Beach boys une altercation et des menaces de Charles Manson.
Pour autant, les Beach boys effectuent la promotion de leur disque. Un album qu’il présente en France notamment. Ils sont sur la scène de l’Olympia ce 16 juin 1969.
Caroline Lebenbojm