Après les tubes pop, se met à la danse classique. L’ex des Beatles ne compte pas chausser des demi-pointes et se mettre à la barre, mais il va composer la musique d’un ballet.
Un défi de taille
Le New York City Ballet, l’une des compagnies de danse classique les plus prestigieuses au monde, va en effet ouvrir sa saison le 22 septembre prochain avec une création, Ocean’s Kingdom. Paul McCartney a été chargé d’écrire la musique, exercice difficile auquel il s’est plié pour la première fois.
"J’ai essayé de retransmettre une émotion, donc vous passez de la peur à l’amour, de la colère à la tristesse, et j’ai trouvé ça excitant et stimulant", explique Paul McCartney. L’histoire du ballet, qui se tient en quatre actes, évoque le monde de l’Océan menacé les humains.
Bataille de producteurs
Si le ballet ne sera donné que dans un mois, Paul McCartney en a déjà enregistré la musique, qui sortira le 3 octobre prochain.
Le chanteur britannique a signé cet album sous le label Decca. Il y a cinquante ans, cette même maison de disque était tombée sur une maquette des Beatles, alors un groupe complètement inconnu. Jugeant qu’ils n’avaient aucun avenir, elle ne les avait pas signés, erreur que ne fera pas leur concurrent EMI quelques mois plus tard.
Un défi de taille
Le New York City Ballet, l’une des compagnies de danse classique les plus prestigieuses au monde, va en effet ouvrir sa saison le 22 septembre prochain avec une création, Ocean’s Kingdom. Paul McCartney a été chargé d’écrire la musique, exercice difficile auquel il s’est plié pour la première fois.
"J’ai essayé de retransmettre une émotion, donc vous passez de la peur à l’amour, de la colère à la tristesse, et j’ai trouvé ça excitant et stimulant", explique Paul McCartney. L’histoire du ballet, qui se tient en quatre actes, évoque le monde de l’Océan menacé les humains.
Bataille de producteurs
Si le ballet ne sera donné que dans un mois, Paul McCartney en a déjà enregistré la musique, qui sortira le 3 octobre prochain.
Le chanteur britannique a signé cet album sous le label Decca. Il y a cinquante ans, cette même maison de disque était tombée sur une maquette des Beatles, alors un groupe complètement inconnu. Jugeant qu’ils n’avaient aucun avenir, elle ne les avait pas signés, erreur que ne fera pas leur concurrent EMI quelques mois plus tard.
