C’était le 13 février 2008, Henri Salvador disparaissait alors qu’il était dans sa quatre-vingt-dixième année.
Près de quatre ans plus tard, Benjamin Biolay , qui avait déjà signé avec Karen Ann le retour du chanteur à la faveur de « Chambre avec vue » (1999), réarrange des maquettes inédites de l’interprète du « Blues du dentiste » ou encore de « Syracuse ».
Un travail qui donne naissance à un album posthume, « Tant de temps », disponible à compter de ce lundi 18 juin.
Benjamin Biolay… « Zorro est arrivé »
Un opus qui voit aujourd’hui le jour grâce à la ténacité et la détermination du directeur artistique de Polydor, Laurent Manganas, qui apprenait il y a un an l’existence de six inédits d’Henri Salvador, composées par Francis Maggiulli.
Pour accompagner ces six titres, Catherine Salvador la veuve du chanteur, a également proposé deux inédits écrits Christian Loigerot.
C’est ensuite que Benjamin Biolay, qui n’a évidemment pas tardé a accepté de travailler sur ce disque, a retrouvé un duo enregistré avec Hubert Mounier ainsi qu’une maquette où Henri Salvador répète pendant deux minutes les mots "mon amour".
Près de quatre ans plus tard, Benjamin Biolay , qui avait déjà signé avec Karen Ann le retour du chanteur à la faveur de « Chambre avec vue » (1999), réarrange des maquettes inédites de l’interprète du « Blues du dentiste » ou encore de « Syracuse ».
Un travail qui donne naissance à un album posthume, « Tant de temps », disponible à compter de ce lundi 18 juin.
Benjamin Biolay… « Zorro est arrivé »
Un opus qui voit aujourd’hui le jour grâce à la ténacité et la détermination du directeur artistique de Polydor, Laurent Manganas, qui apprenait il y a un an l’existence de six inédits d’Henri Salvador, composées par Francis Maggiulli.
Pour accompagner ces six titres, Catherine Salvador la veuve du chanteur, a également proposé deux inédits écrits Christian Loigerot.
C’est ensuite que Benjamin Biolay, qui n’a évidemment pas tardé a accepté de travailler sur ce disque, a retrouvé un duo enregistré avec Hubert Mounier ainsi qu’une maquette où Henri Salvador répète pendant deux minutes les mots "mon amour".