Jean Ferrat s'éteignait le 13 mars 2010, succombant aux suites d'un cancer. Avec lui, c'est un homme de convictions et de principes qui disparaissait.
Longtemps compagnon de routes du parti communiste, celui qui avait interprété Aragon, pour servir ces combats, avait fourbi ses armes : la poésie et la chanson.
« Mourir pour des idées »
Un art sur lequel Jean Ferrat, qui chantait comme l'on s'insurge, revient dans cette vidéo.
Un document rare dans lequel Jean Ferrat échange avec celui à qui il avait rendu hommage dans sa chanson « A Brassens » dans laquelle il saluait le talent de l'irrévérence.
Un dialogue qui atteste d'une admiration réciproque pour des idées (parfois) conflictuelles
Caroline Lebenbojm
Longtemps compagnon de routes du parti communiste, celui qui avait interprété Aragon, pour servir ces combats, avait fourbi ses armes : la poésie et la chanson.
« Mourir pour des idées »
Un art sur lequel Jean Ferrat, qui chantait comme l'on s'insurge, revient dans cette vidéo.
Un document rare dans lequel Jean Ferrat échange avec celui à qui il avait rendu hommage dans sa chanson « A Brassens » dans laquelle il saluait le talent de l'irrévérence.
Un dialogue qui atteste d'une admiration réciproque pour des idées (parfois) conflictuelles
Caroline Lebenbojm