L'interprète des indémodables "Petite Marie", "C'est écrit" ou "je l'aime à mourir" continue de cartonner avec son quatorzième album studio "A l'aube revenant", paru le 16 octobre 2020.
L’aube : un thème très présent dans la poésie des troubadours du moyen âge
Après "te ressembler", une déclaration d'amour à son père disparu et "le peuple des Fontaines", Francis Cabrel révèle aujourd'hui une nouvelle chanson "A l'aube revenant, la chanson titre de l’album.
« À l'aube revenant / Le souffle qu'on entend / C'est deux cœurs qui s'arrachent / Une main se détache / Et l'autre la reprend / Aux yeux l'égarement / Des oiseaux qu'on relâche / Et qui cherchent où se cachent / Le piège qu'on leur tend ».
Une délicate ballade romantique, inspirée par un thème très présent dans la poésie du moyen âge, L'aube. "Je voulais rendre hommage aux troubadours et parler de l'impatience, le desespoir des amants qui se séparent"
"À l'aube revenant" : hommage aux troubadours et vision engagée des temps futurs.
Inspiré par la poésie très romantique des troubadours, Francis Cabrel chante l'amour en occitan (Rockstars du Moyen Âge) et célèbre la pureté des sentiments (Fort Alamour) et l'amour courtois (Ôde à l’amour courtois).
Dans ce nouvel opus, Francis Cabrel aborde aussi des thèmes actuels comme le dérèglement climatique (Jusqu'aux pôles) et dénonce les injustices sans moraliser et chante l’amour et la paix sous toutes ses formes. L'interprète de Petite Marie nous invite aussi à nous détacher de nos téléphones (Parlons-nous), et se désole de la disparition des librairies en ville (Difficile à croire).
Parmi les treize chansons, on découvre aussi un morceau inédit qui a pour titre "Chanson pour Jacques", une ode à la vie façon Dutronc “celui qui se la coule dans son jardin de Corse” ainsi qu’une reprise de “J’écoutais Sweet Baby James” du musicien américain James Taylor.