Par la voix envoûtante de Donna Summer , et son tube «Love to love you baby », les Européens découvrent une nouvelle musique, le disco. S’en suivent des rythmes enivrants et des formations qui se multiplient, dont le groupe américain « Chic », qui explose en 1978 avec le titre « Freak », ou Gloria Gaynor et son incontournable « I will survive ».
Le disco c’est aussi le désir de s’affranchir de tous les codes musicaux, sociétaux. Preuve en est, les Village People qui explose en 1978 et ce grâce à deux français, Jacques Morati et Henri Belolo. Les cinq américains deviennent des icônes du mouvement gay, parodiant les stéréotypes homosexuels de l’époque. Pendant que les suédois d’ABBA séduisent avec « Dancing Queen », c’est l’Italien Giorgio Moroder et le français Jean-Marc Ceronne qui popularise le genre en France.
Radio libre, micro shorts et paroles en anglais …
En effet, à compter de l’année 1978, le disco devient incontournable dans l’hexagone. La légèreté que prône le disco est largement présente dans la variété française, profitant de la naissance des radios libres, sous l'impulsion de François Mitterrand en 1981.
Lancée par Jean-Marc Cerrone et son album « Love in C Minor », de nombreux artistes français surfent alors sur le phénomène comme Patrick Fernandez qui explose avec « Born to be alive », tandis que Claude François et ses Clodettes séduisent les groupies avec des chorégraphies, déjà en avance sur leurs temps.
En 1977, les adolescents découvrent une Sheïla en micro shorts ou en combinaison argentée avec son morceau "Love me baby". En collaboration avec B. Devotion, suivront quelques tubes parmi lesquels "Singin' in the rain" et le célèbre "Spacer" qui lui vaut de se classer dans les charts américains.
Le disco c’est aussi le désir de s’affranchir de tous les codes musicaux, sociétaux. Preuve en est, les Village People qui explose en 1978 et ce grâce à deux français, Jacques Morati et Henri Belolo. Les cinq américains deviennent des icônes du mouvement gay, parodiant les stéréotypes homosexuels de l’époque. Pendant que les suédois d’ABBA séduisent avec « Dancing Queen », c’est l’Italien Giorgio Moroder et le français Jean-Marc Ceronne qui popularise le genre en France.
Radio libre, micro shorts et paroles en anglais …
En effet, à compter de l’année 1978, le disco devient incontournable dans l’hexagone. La légèreté que prône le disco est largement présente dans la variété française, profitant de la naissance des radios libres, sous l'impulsion de François Mitterrand en 1981.
Lancée par Jean-Marc Cerrone et son album « Love in C Minor », de nombreux artistes français surfent alors sur le phénomène comme Patrick Fernandez qui explose avec « Born to be alive », tandis que Claude François et ses Clodettes séduisent les groupies avec des chorégraphies, déjà en avance sur leurs temps.
En 1977, les adolescents découvrent une Sheïla en micro shorts ou en combinaison argentée avec son morceau "Love me baby". En collaboration avec B. Devotion, suivront quelques tubes parmi lesquels "Singin' in the rain" et le célèbre "Spacer" qui lui vaut de se classer dans les charts américains.